Au piano du parfait Alain Bréhéret, cette magnifique interprète joint, sur plusieurs chansons, l'originalité de son orgue de barbarie. "Claudine" (signée S. Blanquart) et "Madame Arthur" (Y. Guilbert) constituent la parfaite restitution de la chanson de rues et de ses interprètes pittoresques. Citons, dans un registre plus classique, entre autres, les chansons de M. Bernard ("Les chanteuses populaires"), J. Moreau ("L'enfant que j'étais") ou F. Leclerc ("Contumace"), auxquelles s'ajoutent des chansons de Carpentier/Pouly et Bréhéret.
J-P.C ( chant'essonne)